• Henri Dikongué

    Henri Dikongué est né le 6 Décembre 1967 à Douala, dans la capitale économique du Cameroun, maisa grandi à Yaoundé. Né dans une famille de musiciens, il se passionne très tôt pour la musique et en apprend les rudiments avec ses proches. Ainsi, son oncle lui apprendra ses premières notions de guitare acoustique, tandis que sa grand-mère le fera chanter avec la chorale protestante du quartier de la Briqueterie à Yaoundé. Malgré cet attrait évident pour la musique et un entourage passionné par l'art, sa famille n'envisage pas du tout de l'encourager dans cette voie, le poussant plutôt vers les études.

    En , Henri est envoyé par sa famille à Besançon afin de poursuivre ses études en droit. Mais sa passion le rattrape bien vite :   il s'installe à Paris et s'inscrit à l'école normale de musique de Paris; ce qui poussera sa famille à lui couper les vivres. Commence alors une période difficile pour le chanteur qui alterne entre petits boulots pour subsister et pratique de la musique. Il tente de sortir un premier disque sans succès. Il crée alors une troupe musico-théâtrale : Masques et Tam-Tam, puis rejoint le groupe musical sud africain Banthu Maranatha, et s'initie au métier de compositeur.

    En Janvier 1998, l'album "C'est la vie" est même classé premier au World Music Charts Europe tandis que le tube éponyme est classé 20e meilleure rotation francophone dans le monde. Fort de son succès en France et aux Etats-Unis, Henri Dikongué retourne au Cameroun à l'occasion des premières Rencontres Musicales de Yaoundé. Il y donne deux concerts à Yaoundé et à Douala qui sont des succès.
     

    Source : bonaberi.com

    "Henri Dikongué fait partie de ces artistes rares et chers au patrimoine artistique camerounais, qui ont su inventer un style musical à part."

     




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  • Proverbes les plus usités :

    _"Quelle que soit la colère du cafard, la poule finit toujours par le picorer"

    _"Tonneau vide fait trop de bruit"

    _"Même le poisson qui vit dans l'eau a toujours soif"
    Proverbe qui signifie que l'Homme est un éternel insatisfait.

    _"Un ruisseau à nombreuses sources ne tarit jamais"

    _"L'eau lave tout, mais il est très difficile de laver l'eau"
    Proverbe Ouest-africain soulignant le caractère vital de l'eau et invitant à la fois à préserver cette denrée.

    _"Quand on n'a qu'une lance, on ne doit pas s'en servir contre un léopard "

    _"La chèvre mange où elle est attachée"

    _"Les poules ne frayent pas avec les cafards"

    _"Le soleil n'ignore pas un village parce qu'il est petit"

    _"Ne te laisse pas lécher par qui peut t'avaler"

    _"Le vieux s'échauffe avec le bois récolté dans sa jeunesse"

    _"Là où tes pas ne peuvent t'emmener, ton coeur peut aller"

    _"L'amour est aveugle, c'est pour ça qu'il faut toucher "

    _"Le bon bois a toujours des fourmis"

    _"Qui a la diarrhée ne craint pas la pluie"

    _"Ne mets pas ton doigt entre l'écorce et l'arbre"
    Ne jamais fourrer son nez dans les affaires entre deux personnes liées familièrement ou autre.

    _"Un oiseau qui jacasse ne construit pas son nid"

    _"L'erreur n'annule pas la valeur de l'effort accompli"


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  • Drame : Un homme retrouvé mort dans la chambre de sa maîtresse à Yaoundé

    Il est à peine 16h au lieu dit Mimboman-Ecole à l’est de Yaoundé ce 23 juin 2005. Un groupe de personnes sont attroupées sur une portion de la route et on peut apercevoir garées sur le côté de la route un véhicule de la gendarmerie et de la mairie.

    De la foule, une rumeur d’émoi, et de stupéfaction se dégage : les habitants du quartier commentent le drame que l’on vient de découvrir dans une chambre du pâté de maisons du lieu. Un homme de plus de la quarantaine vient d’être sorti d’une chambre en état de décomposition, et de fait l’odeur est insupportable, elle monte à la tête et « arrache des haut-le cœur » confie un habitant du coin ; un autre jeune du quartier a dit ne pouvoir supporter l’odeur malgré qu’il ait frotté de la citronnelle dans ses narines.

    L’histoire remonte au week-end précédent. Le quadragénaire qui travaillerait dans une perception au quartier Mvog-Mbi quitte sa femme et ses quatre enfants, il a avec lui la somme de 120 000 F CFA pour l’achat de certains matériaux de construction pour la poursuite de son chantier de sa maison en construction. Mais il prend le chemin de sa petite amie qui habite le quartier Mimboman.

    Depuis le lundi 20 juin, les voisins de la chambre de cette femme sont alertés par l’odeur de putréfaction, il tiendront le coup avant, ne pouvant plus supporter, de faire casser la porte par un gendarme et de découvrir le corps décomposé du quadragénaire couché sur le lit, sans son pantalon jeans.

    L’épouse légitime du Monsieur le recherchant depuis quatre jours en vain, va être conduit par l’ami de son mari au domicile de la maîtresse de celui-ci, car disait-il, son ami avait l’habitude de passer des nuits chez cette dame. La maîtresse du Monsieur elle n’a pas été trouvée dans la chambre, des voisins disaient qu’elle était en voyage.

    En attendant l’issue des enquêtes policières, l’hypothèse d’un meurtre n’est pas vraisemblable d’autant que la chambre était fermée de l’intérieur au moment de la découverte du corps, et que celle-ci n’a pas de fenêtre. Et selon l’épouse légitime, son mari avait des malaises chroniques qui le paralysait pendant des minutes, et qu’il fallait à chaque fois qu’elle intervienne.

    Source : cameroun-online.com

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